Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
- La rencontre
En plein mois d’août, Paris était désert, surtout dans le quartier où j’avais ma chambre. J’étais seul, ma Mère partie depuis près de 6 mois pour s’installer à l’étranger sans plus se préoccuper de moi, mes deux Sœurs vacant à Leur vie, sans non plus se soucier de moi et de cet été où j’étais si seul. Je n’avais jamais eu d’ami, n’ayant jamais eu l’autorisation ni d’en avoir ni de faire quelque relation sociale que ce soit. C’était la règle à la maison pour moi qui était né mâle, alors que mes Sœurs avaient droit à tout, je n’avais droit à rien. Honnêtement, cela ne me manquait pas, j’ai été élevé dans le culte de la Femme, dans son service, et cela me semblait complètement naturel. La négation de mon sexe m’avait été si bien inculquée, que je faisais tout mon possible pour martyriser ce bout de chair entre mes jambes, ne trouvant jamais de pratiques assez sévères pour me punir d’avoir parfois l’outrecuidance de devenir dur. Il est vrai que petit j’avais été sévèrement battu par ma Mère pour avoir touché avec plaisir mon ‘zizi’ et cela avait laissé des traces. Plus tard mes Sœurs ne manquèrent jamais de m’humilier avec. Rien de sexuel ou d’incestuel dans ces humiliations, juste la volonté de nier toute virilité chez moi. Tout en valorisant le culte de la Féminité, et m’apprenant ce qu’était une Femme et comment je devais la traiter.
Il faisait donc chaud, j’étais tout habité d’envies que je ne savais pas qualifier, étant bien entendu puceau. Lorsque je me faisais jouir, je me sentais affreusement coupable, et je m’autopunissait très vivement après, souvent avant aussi. Ce matin-là, c’était un dimanche, et tout sentait l’ennui. Je m’étais réveillé le ventre couvert de mon sperme, sans doute un rêve érotique. Machinalement, je pris plusieurs élastiques pour ligaturer mes couilles, et un lacet noué très serré à la base de mon prépuce que je tirais fortement entre mes jambes, attachant le lacet à une ceinture que je refermais sur ma taille. Je décidais que ma punition durerait 12 heures, avec les couilles qui deviendraient bleues, et la douleur insoutenable, aussi bien sur elles que sur mon sexe écrasé, ou ma taille très serrée. De toute façon je n’avais rien d’autre à faire.
Plus tard dans l’après-midi je descendis prendre un peu le soleil. En bas de l’immeuble une Femme déchargeait Sa voiture, de retour de vacances sans aucun doute. Eduqué pour cela, je Lui proposais de l’aider à décharger. Elle me regarda un instant, et sans me remercier, m’ordonna de prendre les valises dans le coffre et de les monter au troisième étage. J’étais un peu impressionné, comme par toutes les Femmes. Mais Elle me parlait comme le faisaient mes Sœurs ou ma Mère. L’effort me crispa un peu, les souffrances infligées commençaient à faire leur effet et je me sentais faible. Je fis plusieurs allers et retours, remarquant que la Femme ne portait finalement rien, me laissant tout faire. Et m’observant. Je n’osais pas moi la regarder. Elle devait avoir entre 30 et 40 ans, elle était sophistiquée, mince, elle me semblait affolante avec des talons, des bas noirs, et une poitrine que je jugeais grosse. A cette pensée le début d’érection m’arracha un cri de douleur, souffrance que je trouvais bien méritée. Je n’étais vraiment qu’un gros dégueulasse. J’étais bien content de Lui montrer mon dévouement en débarrassant toute sa voiture. Lorsque je redescendis, la voiture était vidée, Elle était au volant et se penchant vers moi, Elle me demanda de l’attendre ici si je voulais bien continuer à l’aider. Tétanisé et ne pouvant pas répondre autre chose que Oui, j’attendis donc qu’Elle revint.
Il se passé près d’une heure avant qu’Elle ne tourne au coin de la rue. Je guettais rendu très nerveux par les souffrances cachées qu’endurait mon sexe, j’en tremblais. Lorsqu’Elle fut tout près de moi, Elle me dit d’un ton moqueur :
-
Tiens je t’avais oublié toi. Tu es toujours aussi obéissant et serviable ?
-
Oui Madame, lui répondis-je sans oser croiser Ses yeux et en balbutiant.
-
Viens avec moi.
Ce n’était pas une question aussi je la suivis jusqu’à Son appartement. C’était un traditionnel Haussmannien parisien, avec une très grande réception lumineuse et superbe avec ses moulures et son parquet. Peu de décoration, peu de meuble, mais cela sentait l’argent et le chic. J’étais encore plus intimidé si possible, moi je n’avais qu’une chambre de bonne, avec les toilettes dans le couloir. Elle me fit m’asseoir sur un fauteuil, ce qui m’arracha un soupir de douleur lorsque j’écrasais un peu plus mes attributs en m’asseyant. Elle ne dit rien mais m’observa.
- Va me chercher un verre de vin dans la cuisine. La bouteille est dans le frigidaire.
Sans hésiter et sans même y réfléchir j’allais à la cuisine m’exécuter. J’avais été éduqué ainsi et les réflexes étaient totalement conditionnés. Je trouvais rapidement un verre et le Lui ramena gauchement, restant debout, ne sachant quoi faire, alors qu’Elle était assise sur le canapé.
-
Où as-tu mal ?
-
Pardon Madame ?
-
Oui tu sembles avoir mal, tu trembles de tous tes membres ? Ou alors est-ce de me voir ?
-
Rouge pivoine je répondis que c’était sans doute de La voir, oui en effet, qu’Elle était très belle.
-
Bien, c’est gentil cela, tu es un garçon très bien élevé. Quel âge as-tu ?
-
18 ans Madame. Je ne sais pas pourquoi je lui mentis, je voulais faire majeur.
-
Où habites tu ?
-
Au 7ème étage Madame, j’ai une chambre de bonne pour mes études.
-
Et tu n’es pas en vacances ?
-
Non Madame, je suis tout seul à Paris, ma Mère est partie vivre à l’étranger et mes Sœurs sont chacune de leur côté.
-
Et tu n’as pas d’amis, ni d’autres familles ?
-
Non Madame
-
Pauvre petite chose abandonnée, tu es pitoyable tu sais ?
-
Je rougis mais ne répondis rien.
-
Assieds-toi dans le fauteuil.
A nouveau je m’assis et la souffrance fut telle que je ne pu retenir une crispation, même si je savais qu’Elle me scrutait.
-
Debout ! Son ton était très autoritaire. Je frémis et me mis debout bien raide.
-
Déshabille-toi.
Je ne bougeais pas, pétrifié de stupeur. Non seulement je ne m’étais jamais mis nu devant une autre personne que mes Sœur et ma Mère, mais en plus ce que cachait mon pantalon était sans doute très déplacé. Le silence devint pesant, insupportable. Je luttais pour ne pas obéir, mais mon penchant naturel pris le dessus, sans même qu’Elle n’ait besoin de répéter. J’enlevais ma chemise, mes chaussures, mes chaussettes, puis toujours dans un silence glacial mon pantalon. J’étais avec mon slip blanc, paraissant tout vide puisque mon sexe était retourné, une ceinture étranglant ma taille, avec un lacet qui lui était attaché, sortant de mon slip. Je devais être ridicule. Le silence me sembla encore plus pesant. Elle n’eut pas besoin de rajouter un mot, je compris que je devais enlever mon slip. Dans un état second, je le fis descendre le long de mes jambes.
-
Eh bien qu’avons-nous là ? Un petit puceau minable qui s’amuse avec son sexe ? C’est cela ? Comme personne ne s’intéresse à toi, tu t’amuses tout seul ?
-
Non, non Madame, non, je ne m’amuse pas. Ce n’est pas bien de s’amuser.
-
Tu vas me dire que tu ne te caresses jamais ? Elle partit d’un grand rire
-
Je, je ne dois pas Madame. Et si cela m’arrive alors je me punis.
-
Oh je vois et tu t’es puni ainsi pour avoir joui ?
-
Oui Madame,
-
Depuis quand es-tu comme cela ?
-
Ce matin 9h30 Madame.
-
Mmmhhh pas mal, viens approche que je regarde cela.
Je m’approchais d’Elle, avec une douleur sourde montant en moi : mon sexe devenait tout dur, et tirait sur le lacet, tout en écrasant les couilles. J’essayais de penser à autre chose, en vain. Elle me fit tourner sur moi, puis mettre à 4 pattes pour voir ce que j’avais fait. Lorsqu’Elle vit mes couilles toutes sombres Elle pousse un petit cri de surprise. Elle approcha la main, les caressa doucement, suivant la peau tendue du bout de l’ongle. La sensation était délicieuse, et mon sexe se raidit. Elle s’en aperçut.
-
Tu aimes cela petit pervers n’est ce pas ?
-
Oui Madame.
-
Je t’interdis de prendre du plaisir tu m’entends ?
-
Oui Madame, mais ce n’est pas de ma faute.
-
Je ne veux pas entendre tes explications à la noix. Tu réponds par Oui ou par Non quand je te questionne, est ce que tu comprends cela ?
-
Oui Madame
-
Bien. Est-ce que tu veux bien que je te touche et que je fasse ce que je veux de toi ?
-
Oui Madame
-
Réfléchis bien, si tu dis Oui alors je ferais de toi tout ce que je veux disons jusqu’à la fin des vacances. Sinon tu montes comme cela dans ta chambre et tu n’entends plus jamais parler de moi .
-
Oui Madame
-
Quoi Oui Madame ? Que veux-tu ?
-
Je veux ce que Vous voulez Madame, tout ce que Vous voulez.
-
Parfait dit-Elle avec un grand sourire. Je ne veux entendre aucun bruit. Elle prit mes couilles suppliciées et les serra progressivement entre ses doigts, enfonçant profondément Ses ongles. La douleur était à la fois vive et profonde, totalement insupportable. Je retins que je ne devais faire aucun bruit, mais les gémissements m’échappaient. Cela semblait Lui plaire puisqu’Elle continua longuement à jouer avec moi, riant de mon érection contrainte, m’humiliant de mots orduriers.
Me laissant quelques instants, Elle enleva rapidement ses chaussures, ses collants fins et sa culotte, pour se rasseoir sur le canapé, les fesses sur le bord. Mes yeux étaient brouillés de larmes et je ne comprenais pas ce qu’Elle faisait. Elle attrapa mes cheveux et colla ma tête contre son sexe dégoulinant de chaleur mais pas que. Je ne connaissais rien aux Femmes, mais je compris ce que je devais faire et c’est bien maladroitement que je me mis à la lécher. Bien trop bas à son goût, je croyais que c’était l’entrée du vagin qu’il fallait caresser, aussi entreprit-Elle de se caresser Elle-même contre mon visage, en se frottant comme une damnée, avant de hurler d’un orgasme qui La laissa épuisée sur le canapé. J’étais moi-même à bout de souffle n’ayant pas pu respirer pendant qu’Elle utilisait mon visage.
-
Viens ici. J’arrivais tout proche d’Elle.
-
Redresse-toi, à genoux, les mains dans le dos. Je me tenais bien droit, le visage baissé.
Elle attrapa mes couilles et serra très fort, m’arrachant des gémissements continus.
- J’adore. Tu m’excites comme jamais. Je crois qu’à ton insu tu m’as fait découvrir une grande chose.
Sa main quitta mes couilles et sans que je m’y attende Elle me donna plusieurs gifles monumentales.
- Ne bouge pas quand je te tape, ne bouge pas d’un centimètre, tu as compris ?
Je me remis en position et les gifles continuèrent de pleuvoir. Je pleurais mais sans bouger, sans même tenter de me protéger, Elle ne le voulait pas. J’avais mal, j’étais anéanti, mais Elle continua, changeant parfois de main, c’était sans fin. Tandis que la main droit continuait de me gifler, la gauche recommença à maltraiter mes couilles puis mon sexe. Je la sentis devenir de plus en plus excitée, perdre le contrôle. Elle cessa de me gifler, mais pas d’enfoncer Ses ongles dans mes parties génitales, la main droite glissant entre Ses jambes, Elle fut prise de grand tremblements tandis qu’Elle criait encore en écrasant mes couilles, je ne pus retenir un cri et un jet de larmes de douleur. Elle s’affala à nouveau et cette fois-ci s’endormit. Je ne savais que faire, j’étais mal ainsi à genoux sur le parquet, mais je n’osais pas bouger. Aussi je ne fis rien, juste concentré sur mes souffrances.
La lumière chaude du coucher de soleil remplissait l’immense salon d’une ambiance magique. Mes yeux étaient lourds, et je n’en pouvais plus de souffrance. Je craignais par-dessus tout l’instant d’enlever les élastiques autour de mes précieuses bourses, la brûlure serait sans doute intenable. J’en avais profité pour regarder longuement cette Femme qui m’avait utilisé, et je dois l’avouer, m’avait donné un plaisir inouï malgré les souffrances endurées. Je sentais au fond de mon estomac comme un pavé d’une intensité incroyable, un désir que je n’avais connu et une envie irrépressible de me jeter à Ses pieds et de l’entendre m’ordonner. Elle était vraiment belle, même si d’un grand classicisme avec Ses cheveux blonds et raide, Ses yeux bleus que je n’osais pas croiser, et sa silhouette mince mais avec une poitrine très rebondie qui promettait sans doute bien des plaisirs, mais je m’interdisais d’aller dans cette voie là.
Lorsqu’Elle émergea, Elle fit à peine attention à moi, et se dirigea vers l’arrière de l’appartement. Je l’entendis aller aux toilettes, puis prendre une douche qui dura longuement. Je n’osais toujours pas bouger. Elle revint doucement et souplement comme une chatte, enveloppée dans un peignoir coton léger. Ses cheveux mouillés rendaient son visage plus dur que ce que j’avais d’abord aperçu, mais là encore je n’osais la détailler du regard, désireux pourtant d’y passer de longues heures. Elle alluma la lumière, mit un peu de musique, puis vint se remettre dans le canapé juste à mes côtés. Je sentais son regard sur moi, je n’osais même plus respirer.
-
Approche. Je me dandinais sur mes genoux endoloris pour me rapprocher d’Elle à la toucher. Je sentis sa main sur mon torse, remonter sur mon cou, allait-Elle me regifler ? J’avais encore très mal au visage, et pourtant je sentis cette boule au fond de l’estomac et cette envie. C’est à cet instant qu’Elle me demanda ce que je désirais.
-
Que Vous me gifliez Madame. Je n’avais pu retenir la réponse, stupide bien entendu. Ce n’était pas cela que je désirais le plus, mais embrasser Ses pieds, me prosterner devant Elle et ne plus penser qu’à Elle.
La gifle parti très vite, très fort, me faisant basculer. Je me remettais aussitôt en position, et spontanément je la remerciais. N’y tenant plus, je me courbais et me permis d’embrasser ses pieds nus. J’attendais qu’Elle me dise quelque chose, mais rien ne vint, aussi je m’enhardis, embrassant avec une dévotion toute neuve ces pieds qui s’offraient à moi, les embrassant, les léchant, les massant, l’un après l’autre. Cela dura un temps infini, je n’étais plus qu’une bouche et cela me convenait parfaitement. Jusqu’à ce qu’Elle se lasse, et me le fasse savoir par un coup pied assez fort dans le visage : je repris rapidement ma position à genoux, les mains dans le dos.
-
Pourquoi avoir embrassé mes pieds me demanda-t-Elle ? Elle semblait surprise de mon attitude, mais l’était sans doute bien moins que moi.
-
Je ne sais pas Madame. J’avais envie de Vous exprimer comme je Vous trouve sublime, et envie de ramper devant Vous.
-
Pourquoi ramper ?
-
Parce que je suis indigne de Vous, Vous êtes sublime, une Femme superbe et supérieure
-
Supérieure ?
-
Je, je crois oui, enfin comme ce que ma Mère me dit, une Femme qui vit sa vie et décide de tout et utilise les hommes pour ce qu’ils peuvent Lui apporter, pas grand-chose dit-elle toujours.
-
Et toi tu as envie que je t’utilise ?
-
Ce serait merveilleux.
-
Tu te souviens de ce que je t’ai dit tout à l’heure ?
-
Je, je ne sais pas Madame, à propos de quoi ?
-
Il faut que tu fasses attention quand je dis quelque chose. Je t’ai dit que si tu restais tu étais pour moi jusqu’à la fin de tes vacances.
-
Oui Madame, jusqu’à la fin de la vie si Vous le désirez. Je n’ai pas d’autre vœu plus cher.
-
Voyons jusqu’à la fin de tes vacances. Tu es prêt à quoi ?
-
Euh, prêt pour quoi Madame ?
-
Eh bien qu’es tu prêt à faire pour moi ?
-
Je, je ne sais pas Madame, tout ce que Vous voudrez ?
-
Tout, vraiment tout ?
-
Oh Oui Madame.
-
Tu feras mon repassage si je te le demande ?
-
Oui avec bonheur Madame ?
-
Mes courses, ma cuisine, mon ménage ?
-
Oui Madame, bien sur
-
Tu es prêt à ce que je martirise ton corps comme je l’ai fait de tes couilles, voir plus encore ?
-
Oui Madame, je suis prêt à tout. Je serais Votre poubelle ou Votre wc si Vous le désirez.
-
Mon wc ? Que veux-tu dire ?
-
Je, je ne sais pas Madame, cela m’est sorti ainsi.
-
Obéis, je ne veux pas de suggestion de ta part, est ce que je suis claire ?
-
Oui Madame.
-
Comme tu as oublié ce que je t’avais dit et que tu m’as contrariée avec ton histoire de wc, je vais te punir, une punition pour l’exemple. Je ne veux jamais avoir à te punir, est ce que c’est clair ?
-
Oui Madame, je suis vraiment désolé, je ferais toujours de mon mieux.
-
Relève-toi, et va t’allonger sur la table à déjeuner, jambes bien écartées. Avant donne-moi la ceinture de ton pantalon. Si tu bouges je recommande jusqu’à ce que tu reçoives 50 coups sans bouger.
Je fis comme Elle me l’avait demandé, bien entendu. Cela faisait longtemps que je n’avais plus été battu, et 50 coups me semblaient énormes. Je pensais qu’Elle ne se rendait pas compte et c’était en fait bien le cas. Les premiers coups furent hésitants voire franchement ratés, m’atteignant le bas du dos, les cuisses, voir me ratant totalement. Puis Elle prit la mesure, tapant avec toute la longueur de la ceinture ce qui était vraiment difficile. Et atrocement douloureux. Ayant ratés de nombreux coups, Elle eut à cœur de me faire bouger pour recommencer le décompte. Le fit Elle exprès ? Un coup m’atteignit sur le prépuce et les couilles et je me retrouvais agonisant à terre. Sans pitié Elle me fit remettre sur la table et recommença à 0 le décompte. Au bout de 10, mes fesses étaient atrocement en feu, mais Elle n’en avait cure. Au bout de 20 je cru que j’allais mourir et que je ne tiendrai pas. Au lieu de se fatiguer, Elle prit plus d’assurance et frappa encore plus fort descendant parfois sur les cuisses. J’avais perdu le décompte et le contrôle, dans un état nouveau, j’étais comme ivre. Mais surtout je sentais un amour fou me remplir les entrailles, une dévotion nouvelle dans cette Femme que je trouvais fabuleuse.
Lorsque les coups s’arrêtèrent, je tombais à genoux à Ses pieds et me prosternait devant Elle dans un état de démence sans doute bien avancé. Elle était nue, en sueur, son sexe était si proche de mon visage. J’approchais timidement près de ce trésor tandis qu’Elle m’agrippa le visage et vint se frotter rudement contre moi, à la recherche d’un nouvel orgasme. La puissance avec laquelle Elle me plaquait était incroyable et heureusement Elle jouit vite. Mon visage était recouvert de son désir et j’étais dans un état de bonheur incroyable et inconnu. Elle s’effondra sur le canapé, je l’entendis juste murmurer « Mon Dieu, Mon Dieu, je vais mourir ». Je dus me rapprocher d’Elle et tournant mes fesses vers Ses mains, je sentis Ses ongles s’enfoncer durement dans mes fesses martyrisées et dans mes couilles déjà brulées. Je sentais Son plaisir à me maltraiter ainsi, mon plaisir à moi n’était pas en reste malgré l’indicible douleur qu’Elle me provoquait. J’aurais tout donné pour pouvoir jouir à cet instant, mais je n’en avais tout simplement pas la capacité.
-
Que vais-je faire de toi ? Elle me regardait intensément.
-
Ce que Vous désirez. Je ne pouvais avoir d’autre réponse.
-
Mets toi debout. Je lui obéis
-
Défais ta ceinture. Avec soulagement je l’enlevais, tandis qu’une large marque couleur pourpre faisait le tour de mon ventre. Détendu mon sexe revint prendre sa place, et à ma grande honte durcir.
-
Elle attrapa le lacet qui était très serré à la base du prépuce et tira dessus d’un coup très sec m’arrachant un cri. Tu as une très jolie laisse ici, il faudra que je trouve quelque chose de plus esthétique. Il t’est interdit de bander, et surtout d’éjaculer, tu m’entends ?
-
Oui Madame, je ne dois pas bander ni éjaculer Madame
-
Ton sexe est à moi, c’est mon jouet, tu ne dois même plus le toucher.
-
Bien Madame.
-
Maintenant défais tes élastiques pour les couilles.
-
Bien Madame, puis je m’asseoir pour cela ?
-
Oui tu peux.
Je me mis à terre, les fesses étaient très douloureuses, mais je n’avais pas le choix. Je savais que la douleur que j’allais subir était dix fois pire. J’attrapais un élastique et le fit passer pour dénouer un tour. Un éclair de feu brula ma peau là où l’élastique serrait. Cela fut la même chose avec chacun, et il me fallut bien 10 minutes pour arriver à les enlever. Je les massais doucement pour rétablir la circulation, et surtout pour faire passer un peu la brulure. Mon sexe s’était recroquevillé sous la souffrance. Je me remis à genoux, les mains dans le dos, mais soulagé d’une terrible contrainte. Je me sentais euphorique.
-
Qu’as-tu prévu pour les 3 semaines qui viennent ?
-
Rien Madame
-
Rien du tout ?
-
Non Madame.
-
Bien, tu grimpes dans ta chambre pourrie, tu as interdiction d’en sortir pour quelque prétexte que ce soit.
-
Oui Madame, même pour les wc ?
-
Pourquoi tu n’as rien dans ta chambre ?
-
Juste un lavabo Madame.
-
Cela suffira. Interdiction de sortir, mais aussi de manger quoi que ce soit. Tu m’entends ?
-
Oui Madame.
-
Toutes les 45 minutes je veux un sms de toi. Même la nuit, tu te débrouilles, je veux que tu m’écrives que tu penses à moi, je veux que tu te remplisses de moi, est ce que tu comprends ? Est-ce que tu sauras ?
-
Oui Madame, oh Oui Madame.
-
Bien je viendrais te chercher ou t’enverrai un message, demain, après-demain ou un autre jour. Tu attends jusqu’à ce que je te sonne d’accord ?
-
Oui Madame
-
Interdiction de parler ou d’échanger avec qui qui ce soit, d’ouvrir ta porte ou autre.
-
Bien Madame.
-
Lorsque tu n’es pas couché, tu restes à genoux, il faut que tu t’habitues, et pas de jeux avec ton sexe.
-
Oui Madame.
-
Rhabille toi, ramasse tes affaires et ton matériel de petite pédale et disparaît de ma vue.
Chancelant, je me retrouvais dans ma chambre, enfermé dans ces 8 m2 en attendant qu’Elle veuille m’utiliser.
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